
Violence entre mère et fille – du trauma au troumatisme
26.07.2023
Le texte d’intervention intitulé « Le désir de l’analyste – la voie de l’identification, la voie de l’identité. » prononcé lors de la première soirée Intervention des séries Praxis et Clinique. Cet événement a été organisé le 3 mai 2021 par le Forum du Champ Lacanien du Liban sur Zoom, autour du thème « L’acte analytique : entre l’identitaire et la plurilinguité.
26.07.2023Exposé présenté dans le cadre d’un séminaire en ligne (en mars 2020) où nous avons parlé avec deux collègues psychanalystes de Beyrouth de l’inconscient dans l’amour, des nouveaux symptômes chez les adultes et les enfants et du transfert comme facteur causal dans la psychanalyse.
Il y a des questions sur l’amour, sur son rapport au désir et à la jouissance, qui tourmentent les couples et qui font leur drame, comme disait Lacan. Ces questions poussent parfois à venir en analyse : Comment savoir si cet amour est vrai ? Est-ce que ce sont les mots qui comptent, ou plutôt les actes ? Si on couche avec quelqu’un, est-ce par amour ou par désir sexuel ?
Ces questions ont aussi fait l’objet du travail de Lacan. Dans le cadre de son enseignement, il a introduit des différenciations entre amour, désir et jouissance. Sur le plan clinique, il est très utile de savoir comment un sujet se place par rapport à chacun de ces phénomènes.
Les premières thèses de Lacan étaient très pessimistes. Jusqu'au Séminaire XX « Encore »[1], il a présenté l’amour comme mensonger. Mais, sans abandonner ce concept, à partir de la Lettre aux Italiens[2], il a commencé à parler de la possibilité d’un amour « plus digne » qui ne peut s’atteindre que par l’analyse. Je vais tenter de retracer l’évolution de ces thèses sur l’amour et présenter leur signification possible...




